Un soir, une nuit ou à l’aurore,
Peu importe le décor,
Si vraiment tu es sans ressort,
Abandonne ton passeport.
Dépose teslivres et ton savoir dans la grange,
Oublie toutes les louanges.
Fais le silence, et, écoute ton cœur en échange.
Comme c’est étrange !
Le vide s’installe, et semble indolore.
Une présence invisible… Peut être un ange,
Sonne au son du cor.
Comme c’est étrange !
« Regarde en toi. Libère le trésor. »
Seul dans le noir, le vide encore…
Nu comme un ver. Qui cela dérange ?
« Ouvre ton cœur… Prépare les vendanges ! »
Pardonne sans aucune attente, à ceux qui t’ont fait du tort,
Pardonne toi aussi, d’avoir bâti tous ces gardes corps.
Haines et rancœurs sont des prisons avec leurs états majors.
Elles ligotent l’Amour à bras le corps.
Seul, le pardon permet, en dernier ressort
De s’évader et, enfin, d’éclore…
Telle une mésange,
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Je relis avec plaisir ce superbe texte de Jacques.
Merci de ce partage.
Mes amitiés
Moi aussi j’aime le relire , il me manque beaucoup sur les blogs j’ai fais tellement un grand bond quand il arrivé dans ma vie via les blogs avant la migration de windows live vers wordpress merci kleaude xx
Merci du bon partage, Jeanne !
Bonne poursuite de cette soirée,
Bisous♥
Bonne fin de soirée aussi 😘